Et si je te simplifiais la vie
ou e montrais comment ?


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Un exemple de réécriture avec l'article "Assumer" du blog Le Code de la Vie.com


AVANT

APRES

Voici un exemple avec l'article de Jérôme Ducrocq, auteur du blog Le Code de la Vie.com

Je le remercie de s'être proposé comme exemple pour montrer mon travail de réécriture d'articles, de livres...etc.

"Assumer."

Ce mot me fascine aujourd'hui alors qu'il fut un temps, il m'effrayait et donc je le fuyais comme la peste.

Je me rends compte aujourd'hui qu'il n'est pas évident de retranscrire des émotions, des ressentis avec de simples mots.
Une émotion et un ressenti,dans une réalité, cela ne s'explique pas car ça se vit.

A nouveau je retombe dans la théorie et la pratique. De la théorie à la pratique, il y a un monde. Tout comme un homme et une femme.
En cherchant, à expliquer à un homme comment être homme? Et à une femme comment être une femme? Le tout sans l'ÊTRE réellement, cela créer un véritable bordel mental et je pèse mes mots et plus particulièrement "BORDEL".
Qu'est ce qu'un "BORDEL", comment le voyons nous? Comment le ressentons nous? Sommes nous alaise avec ce mot? Et pourquoi ce mot?
Effectivement pourquoi ce mot?
Car si vous ne le vivez pas, alors vous ne pourrez jamais réellement parler en connaissances de causes et plutôt en connaissances mentales.
Oui, j'avoue que celles-ci servent pour la compréhension et la prise de recul.

Mais sincèrement, comment prendre du recul de quelque chose dont je ne suis dedans?
Nous tombons dans un questionnement du style l'oeuf ou la poule en premier?
Ou encore le serpent qui se mord la queue et il ne le sait même pas.

Quelque part, je cherche une réponse à l'extérieur de "MOI", ce qui fait que je ne peux jamais réellement avoir de certitude car je ne sais pas étant donné que je ne sens pas et surtout si je ne ressens même pas la question, ni le poids des mots.
Cela à pour conséquences de retomber dans une forme de "BORDEL" que je fuis et que je ne cherche pas à vivre car j'en ai peur.

Je pourrais employer un autre mot pour décrire ce "BORDEL", par exemple avec le "CHAOS".
Sincèrement qui aime le "CHAOS"? C'est comme les inconnus, nous apprenons depuis notre plus jeune âge à nous en méfier.
POURQUOI donc? POURQUOI BORDEL DE MERDE?

En fait, c'est assez simple, nous utilisons majoritairement un seul mot pour une chose bien spécifique, bien précise

Alors je me suis dis: "Pourquoi je fuis ce mot?"
Et je me suis rendu compte petit à petit que ce n'est qu'un mot et un mot ne peut à priori rien me faire.

A l'époque, je ne comprenais pas car ce mot qui était employé vers moi du style: "es-tu réellement sûre que tu vas assumer ce qui vient derrière?"
Et comme je ne savais pas ce qui venait derrière alors, j'avais peur, mais peur de quoi concrètement?
"l'inconnu" et le comble dans tout cela c'est que depuis tout petit, j'apprenais que je devais me méfier des "inconnus".
Se méfier, fait appel au sens de la peur
C'est ça en fait, à l'époque j'avais peur

C'est un mot, une action qui mal compris, ou encore pris à légère peut entraîner de drôles de surprises, bonnes comme mauvaises.

Nous allons dans un premier temps définir ce mot "assumer" grâce au dictionnaire de l'internaute pour y mettre comme à son habitude plus de clarté.
Puis nous verrons à quel moment celui-ci entre en action dans nos vies.
Et enfin nous prendrons du recul par rapport à ce qui aura été vu au travers toutes ces explications.

1- La définition du mot "assumer", selon le dictionnaire de l'internaute.

"assumer , verbe transitif
Sens 1 Prendre la charge, prendre à son compte.
Sens 2 Accepter sa responsabilité, prendre sur soi.
Synonymes : accepter, endosser, prendre "

2- voyons à quel moment l'action "assumer" entre dans nos vies.

"Assumer", comme son nom l'indique c'est une action de prendre la charge à son compte. D'accepter de manière connue ou non la responsabilité qui en découle, en sa propre personne.

Plusieurs cas de figures sont possibles, cependant voyons à partir de quand cela commence exactement? 
La réponse est simple et évidente, pourtant elle peut être rejetée par celui même qui l'a accepté au début.
Il s'agit tout simplement de la naissance.
- Nous finissons par assumer consciemment ou non de ne plus loger dans un même lieu (le ventre de la maman), de ne plus se nourrir de la même façon (nourriture différente et conduit différent).
Cela s'appelle l'évolution et l'adaptation, nous finissons par l'assumer et si ce n'est pas le cas, alors nous finissons par nous éteindre plus ou moins rapidement.

Dans assumer, il y a bien cette notion de "prendre à sa charge sur soi".
Hors, est-ce que tout ce que je prends à ma charge est réellement choisi par moi?
Ai-je pu choisir en ayant conscience et connaissance de cause?
Ai-je eu mon mot à dire?
Si ce n'est pas moi qui le choisi, dois-je le prendre à ma charge? Et dois-je en être responsable?

Qui paie la facture? Les conseilleurs ou les payeurs?
Les conseilleurs se contentent logiquement de conseiller et pourtant connaissons tout d'eux? Est-ce vrai ou faux ce dont ils nous conseillent?
Les paroles sont du vent.
Les actions passent par du concret et de l'expérience. C'est alors à ce moment là qu'intervienne les payeurs.

"Assumer", pour moi c'est être avant tout un "payeur" qui grâce à son investissement du début sera en mesure de conseiller par la suite.
Il sera passé sur le terrain et par du concret. Autrement dit il aura de l'expérience.

3- Prenons du recul.

Qui assumes tout?
Nous apprenons à déléguer et donc quelque part, nous apprenons à reporter une par de notre responsabilité.
Est-on en mesure d'assumer que cela ne soit pas fait comme nous l'attendions? Et est-on prêt à payer la facture sans rejeter pleinement la faute sur l'autre?

Assumer quelque chose, c'est bien qu'il y a un impact vis à vis de soi et aussi vis à vis des autres personnes qui nous côtoient.
Cela veut dire que dans tout les cas, une relation consciente ou non c'est établit et que nous avons tous une part de responsabilité à assumer.

D'un coté, si j'en prend trop et que je dis "oui" à tout, je ne serais pas en mesure d'assumer pleinement ma vie puisque j'en aurais trop.
Je serais rattrapé par les événements, les engagements et ne serais plus en mesure d'assumer cela et entrerais dans une forme de dépendance totale. Automatiquement, des frustrations de par et d'autres naîtront, tout comme les tensions.
Et cela fini par devenir de la dépendance à l'extrême et ça je n'en veux plus.

De l'autre coté, si je ne prend rien et que je dis "non" à tout, je ne créerais plus de relation, ce qui fait que je n'aurais plus rien à assumer.
Cela devient de l'indépendance à l'extrême et ça je n'en veux plus.

Les deux cotés vu précédemment sont peu viables.
C'est pourquoi j'opte pour une autre possibilité, celle de l'inter-dépendance.
Je m'explique, si je décide de prendre ma part et seulement ma part de responsabilité, je vais devoir assumer mes actions, mes "oui" et aussi mes "non" et ce dans un seul but, pouvoir assumer pleinement ce que j'entreprend dans ma vie.
Alors oui, cela déplaira certainement à certains, même très proches de moi lorsque je dirais "non", mais je veux être le payeur de ce que je veux et non le payeur de simple conseilleurs.
Je veux avancer et payer des gens à qui je dis "oui" car je l'assume.
Je veux entrer dans un schéma d'interdépendance que je choisi, pour assumer en toute connaissances de causes.









"Assumer."

Ce mot me fascine aujourd'hui, mais il fut un temps où il m'effrayait et je le fuyais comme la peste.

Je me rends compte aujourd'hui, qu'il n'est pas évident de retranscrire ses émotions et ses ressentis avec de simples mots.
Une émotion est un ressenti dans une réalité, cela ne s'explique pas : ça se vit.

A nouveau je retombe dans la différence entre théorie et pratique. De la théorie à la pratique, il y a tout un monde. Tout comme entre un homme et une femme.
Si je cherche à expliquer à un homme comment être homme, et à une femme comment être femme, le tout sans l'ÊTRE réellement…
Cela crée un véritable bordel mental, et je pèse mes mots ! Plus particulièrement le mot "BORDEL".

Qu'est-ce qu'un "BORDEL", comment le voyons-nous? Comment le ressentons-nous? Sommes-nous à l’aise avec ce mot ? Et pourquoi ce mot ? Oui, pourquoi ce mot ???

Si vous ne vivez pas ce « bordel », vous ne pourrez jamais réellement en parler en connaissances de causes. Vous n’en parlerez qu’en connaissances mentales.
Mais j'avoue : ces connaissances mentales servent quand même pour la compréhension et la prise de recul.

Mais sincèrement, comment prendre du recul par rapport à une situation de « bordel » lorsque je me sens à l’extérieur de celle-ci ? Lorsque je pense que je ne suis pas responsable ? Lorsque je pense que « ce n’est pas moi qui ai commencé le premier ! » ?
Nous retombons alors dans la « logique » de « l'œuf ou la poule ? » ou encore du serpent qui se mord la queue et qui ne le sait/voit même pas.

Quelque part, quand je cherche qui a commencé le premier, je cherche les raisons de ce « bordel » à l'extérieur de "MOI"… ce qui fait que je ne peux jamais réellement avoir de certitudes et accéder à la « vérité ».
Je ne peux pas la « savoir » non plus, si je ne prends pas le temps de sentir, et surtout de ressentir, ni la question, ni le poids des mots.
Cela a pour conséquences de retomber dans une autre forme de "BORDEL" que je fuis et que je ne cherche pas à vivre car j'en ai peur.

Je pourrais employer un autre mot pour décrire ce "BORDEL", par exemple le mot "CHAOS".
Sincèrement, qui aime le « CHAOS »? Il nous fait peur, comme les inconnus. Et depuis notre plus jeune âge nous apprenons à nous en méfier.
POURQUOI donc ? POURQUOI, BORDEL DE MERDE ?

En fait, nous utilisons majoritairement ce seul mot, « assumer » pour quelque chose de bien spécifique.

Et je me suis demandé : "Pourquoi je fuis ce mot ?"
Et je me suis rendu compte, petit à petit, que ce n'était qu'un mot, et qu’un mot ne pouvait a priori pas me faire de mal.

A l'époque je ne comprenais pas ce mot, lorsqu’on me disait par exemple : "Es-tu réellement sûr que tu vas assumer ce qui vient derrière ?"
Comme je ne savais pas ce qui venait derrière, j'avais peur. Mais concrètement, peur de quoi ?
De "l'inconnu" ! Car depuis tout petit j'apprenais que je devais me méfier de ces "inconnus" !

Se méfier, fait appel au sens de la peur. Et c’est bien ça en fait : A l'époque j'avais peur !

Assumer, c'est un mot ou une action qui, mal compris ou encore pris à la légère, peut entraîner de drôles de surprises, bonnes ou mauvaises.

Nous allons dans un premier temps définir le mot "assumer" grâce au dictionnaire de l'internaute, pour y mettre comme d’habitude plus de clarté.
Puis nous verrons à quel moment celui-ci entre en action dans nos vies.
Et enfin nous prendrons du recul, par rapport à ce qui aura été vu au travers de toutes ces explications.

1- La définition du mot "assumer" selon le dictionnaire de l'internaute.

« Assumer », verbe transitif (c'est-à-dire qu’il est toujours suivi d’un COD : on assume quelque chose.)
Sens 1 : Prendre la charge, prendre à son compte.
Sens 2 : Accepter sa responsabilité, prendre sur soi.
Synonymes : accepter, endosser, prendre.

2- Voyons à quel moment l'action d’"assumer" entre dans nos vies.

"Assumer", comme nous venons de le voir, c'est l’action qui consiste à prendre la charge de quelque chose, de le prendre à son compte. On accepte alors de prendre personnellement la(les) responsabilité(s) qui en découle(nt), qu’on les connaisse à l’avance ou qu’elles nous apparaissent par la suite,

Plusieurs cas de figures sont possibles, mais voyons cependant à partir de quand exactement, on commence à assumer ?
La réponse est simple et évidente, pourtant elle peut être rejetée par celui même qui l'a accepté au début. Il s'agit tout simplement de la naissance.

Nous finissons par assumer, consciemment ou non, de ne plus loger dans un même lieu, le ventre de la maman

De ne plus se nourrir de la même façon : nourriture différente, passant dans des conduits différents.

Cela s'appelle l'évolution et l'adaptation. Nous finissons par l'assumer, mais si et quand ce n'est pas le cas, nous finissons par nous éteindre plus ou moins rapidement.

Dans « assumer », il y a donc cette notion de "prendre à sa charge, prendre sur soi".
Or, est-ce que tout ce que je prends à ma charge est réellement choisi par moi ?
Ai-je choisi en toute connaissance de cause ? Ai-je choisi en toute conscience ?
Ai-je eu mon mot à dire ?
Si ce n'est pas moi qui l’ai choisi, dois-je le prendre à ma charge ? Dois-je en être responsable ? Dois-je m’en sentir responsable ?

Qui paie la facture ? Les conseilleurs et les payeurs.
Les conseilleurs se contentent de conseiller et souvent, ils ne nous montrent presque rien d'eux. On ne les connaît pas, ni eux, ni leur vécu. Alors on peut légitimement se demander : « Leur conseil est-il bon ou mauvais ? »
Les paroles sont du vent.
Les actions, le concret amènent elles, l'expérience. C'est alors à ce moment là que pour moi interviennent les payeurs.

"Assumer" pour moi, c'est donc être avant tout un "payeur" ! Un payeur qui, grâce à son investissement du début, sera en mesure de bien conseiller par la suite.
Il sera passé sur le terrain et par du concret. Autrement dit, il aura acquis de l'expérience.

3- Prenons du recul.

Qui assume tout ?
Nous apprenons à déléguer et donc quelque part, nous apprenons à reporter une part de notre responsabilité.
Est-on en mesure d'assumer que cela ne soit pas fait comme nous l'attendions ? Et est-on prêt à « payer la facture » sans rejeter pleinement la faute sur l'autre ?

« Assumer » quelque chose, c’est savoir qu'il y aura forcément un impact, vis à vis de soi et/ou vis à vis des autres personnes qui nous côtoient.
Cela veut dire que dans tous les cas, une relation consciente ou non s'est établie et que nous avons tous une part de responsabilité à assumer.

D'un coté, si j'en prends trop à ma charge et que je dis "oui" à tout, je ne serai pas en mesure d'assumer pleinement ma vie, puisque j'en aurai trop à faire. J’ai fini par me rendre compte que je prenais tout à ma charge, car c’est ce qu’on m’avait appris à faire. Je ne savais pas que je pouvais faire autrement, et surtout que j’en avais le droit.
En prenant la responsabilité de tout, pour tout, je suis finalement rattrapé par les événements et mes engagements, je ne deviens plus du tout capable de les assumer. J’entre dans une forme de dépendance totale : de l’autre envers moi, de moi envers l’autre. Automatiquement, des frustrations de part et d'autres naîtront, comme des tensions.
Et cela finira par devenir de la dépendance à l'extrême. De cela je ne veux plus.

De l'autre coté, si je ne prends rien et que je dis "non" à tout, je ne créerai plus de relation, ce qui fait que je n'aurai plus rien à assumer.
Cela devient de l'indépendance à l'extrême. De cela je ne veux plus non plus.

Les deux facettes vues précédemment sont donc peu viables.
C'est pourquoi je préfère opter pour une autre possibilité : celle de l'inter-dépendance.
Je m'explique : Si je décide de prendre ma part (et seulement ma part !) de responsabilité(s), je vais devoir assumer mes actions, mes "oui", mes "non", et ce dans un seul but : celui de pouvoir assumer pleinement ce que j'entreprends dans ma vie.
Alors oui, cela déplaira certainement à certains, même très proches de moi, lorsque je dirai "non"..,
Je dirai « oui » uniquement si cela fait avancer les deux parties. Je veux être le payeur de ce que je veux, non le payeur de simples conseilleurs.
Je veux avancer quitte à payer des gens à qui je dis "oui", car je l'assume.
Je veux entrer dans un schéma d'interdépendance, que j’aurai choisi, en assumant en toute connaissance de causes.