Ces derniers jours, j’ai été particulièrement fière de moi, de ce que je mettais en place.

Il y a deux semaines, j’ai eu l’envie de voir du monde, de revoir des personnes que je n’avais pas vues depuis quelques temps. De nous revoir de manière informelle et décontractée.

Pour cela, j’ai donc tout simplement proposé un pique-nique dans un parc sur Nantes, histoire aussi de profiter encore du beau temps de cette fin d’été.

J’ai publié une annonce, à la fois sur Facebook, mais aussi envoyé un SMS à près d’une soixantaine de contacts depuis mon téléphone. Viendrait qui pourrait, ce serait la surprise et comme j’aime à dire en plaisantant : ” Il y aurait les meilleurs !” 

 

Une petite dizaine de personnes sont venues au total. Les échanges étaient comme je les aime : informels, authentiques et même parfois profonds. Tous semblaient dans l’écoute des uns et des autres. Des petits groupes se sont formés de part et d’autres, avec chacun leur sujet de discussion. C’était vraiment le fun, comme disent les Québécois.

J’ai vraiment apprécié ce moment, et visiblement les autres aussi. J’étais fière d’avoir proposé l’idée, que les gens soient venus, aient passé un bon moment, aient aimé discuter avec d’autres qu’ils ne connaissaient pas ou peu.

Cela m’a rempli d’énergie : moi qui suis habituée à faire une sieste réparatrice quotidienne, ce samedi je n’en ai pas eu besoin. Ni même ressenti le besoin. J’ai réussi à tenir et à être super joyeuse et pleine d’énergie jusqu’à minuit.

J’aime être une rassembleuse : j’aime réunir le monde autour de moi, même si les gens sont d’horizons, d’histoires et de personnalités totalement différentes.

Pour n’en citer que quelques-uns, il y avait des femmes entrepreneures comme moi, rencontrées dans divers groupes (mastermind ou réseaux). Une enseignante en histoire-géographie sur le pas de la retraite. Une femme née homme, en processus de transformation corporelle et tellement heureuse d’avoir sauté le pas. Un ami qui était venu me filer un coup de main l’an passé pour nettoyer ma terrasse au karscher. Et puis, sans l’oublier, mon chéri qui a grandement aidé dans les préparatifs, en faisant les allers-retours jusqu’à la voiture pour nous apporter la table en plastique, les chaises, la grande couverture de pique-nique et tout le matériel pour le barbecue que personne n’a mangé ! Parce que la plupart étaient végétariens… Pas de bol pour lui qui adore la viande. Mais, comme les autres hommes ont tardé à venir, on va dire qu’en échange de son bon service et de son implication, il aura bien profité de la bonne compagnie de toutes ces femmes au cœur ouvert. 😉

J’ai donc passé un super samedi, fière d’avoir organisé ce pique-nique, fière aussi de recevoir les remerciements et les témoignages positifs des personnes présentes. Si c’était à refaire, je referais pareil !

 

Du côté professionnel, je me porte plutôt bien aussi en ce moment, côté fierté.

Depuis à peine une semaine, je participe à un challenge quotidien, avec d’autres membres au sein d’un groupe de mastermind.

L’idée est de poser chaque jour, une action concrète pour s’habituer à et gagner en visibilité sur les réseaux sociaux.

Etre vue, c’est la prise de conscience que j’ai eue de ce qu’il me manquait pour le développement de mon activité.

Comment les gens peuvent être intéressés par ce que je propose, si d’une ils ne savent pas ce que je propose (je ne communiquais presque pas, même pas du tout pour ainsi dire), et deux s’ils ne savent pratiquement pas non plus qui je suis, d’où je viens…etc. Car on nous le répète assez souvent en marketing web : le produit, c’est Vous !

Oui, mais pour moi, c’était devoir se mettre en avant, se dévoiler, se mettre à nu, et c’était chose encore impossible…

Jusqu’à juin, où j’ai décidé qu’il était enfin temps de sortir mon blog, et août où j’ai senti que c’était enfin le moment de lancer mon vlog, parce que ça y est : maintenant je suis prête à partager mes projets, mes envies, mes défis…etc.

 

Mais revenons à mon sentiment de fierté personnelle : être dans ce petit groupe d’entrepreneures, maintenant que je les connais toutes à peu près bien, me pousse et me stimule davantage pour relever chaque défi quotidien proposé.

Une fois relevé, j’aime m’auto-féliciter, d’abord. J’aime aussi pouvoir le dire (l’écrire) fièrement au sein du groupe : ” Voyez, j’ai fait ça comme ça et ça a donné ça, ça et ça. “

C’est aussi valorisant lorsque je lis : ” Ludivine, tu pourrais me donner une idée pour ça ? ” Waouh, je suis utile à quelqu’un, quel bonheur !

Les défis de chaque jour dans ce challenge me font du bien. Ils me font oser, je sors de ma zone de confort.

Malgré une certaine appréhension avant l’action du challenge, j’arrive à aller au-delà de ma peur première, à la contourner.

Si je n’ai pas d’idée sur l’instant pour la réalisation du défi, j’écoute celles qui viennent à moi naturellement. Je les mets en œuvre, puis j’agis, je réajuste, en fonction du résultat.

Pour vous donner un exemple, le premier défi consistait à parler de ce qu’on proposait à des personnes qui pourraient être intéressées. Premier réflexe de l’ego : ” Euh, ben non, je ne vois pas à qui… ” Du coup, qu’est-ce que tu fais quand tu ne sais pas Ludivine ? Ben, tu demandes ! Et c’est ce que j’ai fait : j’ai fait un message d’enquête, pour savoir qui se sentait concerné par l’accompagnement des projets d’écriture ou par de la relecture et de la correction.

J’ai été surprise et très heureuse de constater le nombre de personnes qui m’ont répondu, avec lesquelles j’ai échangé quelques mots vraiment sympathiques, et qui m’ont dit qu’elles se référeraient à moi quand le temps sera venu. Gratitude. Mais encore une fois, je m’aperçois de l’importance des actions concrètes

En plus, j’ai redécouvert que le fait de poser une action concrète chaque jour, était plutôt quelque chose de simple et léger à accomplir.

En tout cas sur le coup, parce que mon corps l’a manifesté autrement les jours suivants : vertiges, vomissements, dos et bassin complètement verrouillés, une douleur subite sur le dessus du pied. A n’y rien comprendre, vraiment…
 
Ma coach m’a aidé à y voir plus clair : cette soudaine connexion avec d’autres clients potentiels et plutôt nombreux l’a plutôt effrayé, mon petit corps !!!
Va-t-il pouvoir suivre ? Avoir suffisamment d’énergie pour donner à tous le meilleur de moi-même ?
 
J’ai fait sourire ma coach quand je lui ai dit que j’avais fixé le nombre d’entretiens à un par jour. C’est parce que j’ai encore peur de ne pas suivre physiquement. Alors je fais d’abord à mon rythme, puis je réajusterai en fonction, avec le temps.
 

 

Ces entretiens permettent à la personne d’évoquer son projet d’écriture, ce qui la bloque, quels sont ses besoins et ses envies pour passer à l’étape suivante de sa concrétisation.
Vous exprimez l’ensemble de vos besoins, mais aussi ce qui vous convient le mieux en termes d’accompagnement dans un monde idéal.
Ainsi, mon offre s’adapte au maximum à vos besoins.
 
Vous avez envie qu’on en parle ? Alors rien de compliqué : passez à l’action, et contactez-moi… 🙂 
 
A bientôt sur le blog, ou en direct.

 

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Ludivine Lesénéchal

Ludivine Lesénéchal

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Je suis “3 en 1” ! Coach en écriture, correctrice et formatrice d’adultes.

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